To Become Friends ?

Rapide description : Otaku. Savez-vous ce que c’est ? C’est une personne qui consacre tout son temps et toute son énergie à une passion (les mangas et animés, généralement), et reste la plupart du temps isolée de tous.

Il n’est pas rare du tout d’en croiser au Japon, mais aussi dans les autres pays où le terme est toutefois moins péjoratif. Cependant, cela reste tout de même un problème, surtout pour ces personnes qui auront du mal à construire une vie, dû au manque de sociabilité. Le Dieu de la Vie, Jiinsei, décida de faire quelque chose, outré qu’on puisse se perdre dans une passion et laisser la vie de côté. Très en colère contre les Otakus, il fit un grand rituel un soir de Pleine Lune, emportant tous les Otakus du monde entier sur une île géante, où animés, mangas et ordinateurs n’existaient pas. Il espérait ainsi que ces êtres retrouvent la voie de la raison. Mais, en choisissant la méthode la plus dure à supporter pour ces personnes, il s’expose à des situations difficiles.

Malgré la demande du Dieu des Dieux, Kami-sama, Jiinsei laissa les choses telles qu’elles étaient, et les Otakus se retrouvent donc coincés jusqu’à « rétablissement » total, sur cette île perdue seul Jiinsei savait où.

Contexte entier:
« On va tous crever de toute façon, à quoi ça sert la vie ? »

Voila la question que se posait souvent Lorelei étant petite. Tout comme Keiji, qui demandait:

« Pourquoi je suis pas un garçon ? ».

Autant de questions existentielles que se posaient donc les Jibô depuis leur enfance. Mais laissez-moi vous expliquer qui sont les Jibô.

D’abord il y a Jun, fondateur du groupe. Lui, c’est le Japonais visualeux qui ne vit que par et pour la musique. La suite du code est explosion. C’était un petit garçon japonais comme les autres, jusqu’à ce qu’il se dise que la vie c’était la musique. Mais dans sa société si sélective et stricte, il se cassa littéralement la gueule, presque volontairement, et fonda son groupe. Jibô. Ce mot signifie désespoir. Ce groupe n’était pas un groupe de musique. Mais un groupe d’entraide. Jun voulait réunir tous ceux qui voulaient une vie…Différente. Et il trouva Lukas. Un Allemand qui avait voulu aller voir Tokyo, sans jamais avoir les moyens de repartit. Lui aussi, sa vie, c’était la musique, le chant. Et les autres. Il aimait les autres et épousa tout de suite les idées de Jun. Ils furent rejoins par Mikaël, qui venait d’Amérique et qui dealait. Lui, il tombait dans la drogue et en avait assez de ses parents bourgeois. Et lui il aimait la peinture. Les deux Jibôs l’enrôlèrent avec eux, et il se reprit un peu, sans totalement arrêter.

Puis il y eut la petite Hinata. Trouvée dans un coin d’une rue, elle s’était fait chasser de chez elle car elle était Tomboy. Elle était mal en point, car elle s’était fait agresser. La jeune fille avait une voix qui perçait le fond des cœurs, qui plut tout de suite à tout le petit groupe. Elle aimait aussi la musique par-dessus tout mais voulait aussi se faire accepter en tant que garçon, sous le nom de Keiji.

Puis Lorelei les rejoint, petite française enfuie d’un internat pour handicapés car elle était…muette. Mais elle avait un don avec les animaux, elle leur parlait avec les yeux et séduit les autres par sa sympathie.

Ensuite vint Wladyslaw, jeune pianiste polonais incompris, car son instrument n’était pas « à la mode ». Mais il jouait divinement bien. Peu de temps après ils furent ralliés par Quãn, jeune Vietnamien passionné par un art martial traditionnel de son pays, le Vovinam Viet vo dao, et possédant aussi un excellent niveau de Karaté et Judo.

Mei-li, la chinoise, fut la dernière à rejoindre le « groupe initial ». Elle possédait une plume magnifique, et avait la possibilité d’être un grand écrivain.

Maintenant, les 8 vivent à Tokyo dans la débauche, comme ils peuvent, acceptent tous ceux qui passent devant le cercle des 8, sans se faire prendre par la police et le reste…Tout ceux qui sont contre eux.

La dernière particularité des Jibô, c’est qu’aucun d’entre eux ne croit aux sentiments amoureux. Leur fraternité est pour eux la seule chose possible.

Pour eux, l’amour est un jeu.

Au Japon dans la ville de Tokyo, il y a une école nommée "Sora Gakuen". Anciennement une école pour filles, aujourd'hui elle est devenue mixte et les garçons peuplent l'établissement autant que les jeunes demoiselles.

Ce monde est pourtant remplis d'évènements, les duels entres les filles et les garçons, les amours plus nombreux les uns que les autres, les trahisons, les amitiés nombreuses et surtout les jeunes ados qui deviennent parents alors qu’ils n’ont pas encore atteint l'âge adulte.

Toutes ses petites choses son réunis a Sora et si vous voulez faire partie de ce monde, alors n'hésitez pas, les portes vous sont ouverte et votre histoire... débutera.

Qui pourrait croire qu'un simple tremblement de terre peut faire voyager dans le temps ? Pas vous ? Faites attention la réalité peut être tout autre. En effet, lors du terrible tremblement de terre qui secoua le Japon entier en 2009, quelques citoyens ont disparus. Les médias et la police certifient qu'ils sont probablement morts sous des décombres. Pourtant ! La vérité est toute autre ! Les "disparus" sont dans le futur, en 2109 plus précisément. Le Tokyo d'il y a 100 ans n'a pas vraiment changé, mis à part les gens, la mentalité encore plus bizarre, les lois qui interdisent l'originalité, la monnaie aussi, ... En effet, Tokyo a changé, et Tokyo n'est plus aussi calme qu'auparavant. Non, il n'y a pas de troisième guerre mondiale ou un deuxième Hitler, juste l'empereur un peu fou qui veut que le Japon retourne à ses racines. D'ailleurs tout contact avec le monde extérieur est totalement interdit. Plus de téléphone, plus d'ordinateur, plus d'avion, plus rien ou presque.
Mais ne vous inquiétez pas, les bars, les jeux vidéos, les cinémas sont toujours là, mais il y a un couvre feu, et si vous ne le respectez pas, vous êtes très audacieux, ou tout simplement fou.